Le paysage des véhicules électriques (VE) a radicalement changé depuis l’apparition de la Nissan Leaf en 2010, parallèlement à des événements mondiaux comme l’éruption volcanique en Islande et le lancement de l’iPad d’Apple. À l’époque, la Leaf était une nouveauté ; Aujourd’hui, il entre sur un marché encombré de 60 millions de véhicules électriques dans le monde, dont 1,6 million rien qu’au Royaume-Uni.
La dernière itération de Nissan, la Mk3 Leaf, devrait être lancée en 2026 et doit prouver sa valeur face à des concurrents puissants comme la Kia EV4 et la Skoda Elroq. L’Elroq a déjà acquis une réputation exceptionnelle, recevant une évaluation de 4,5 étoiles pour son efficacité, son autonomie, sa maniabilité et son confort, ce qui en fait la référence actuelle dans la classe compétitive des véhicules électriques du segment C.
La nouvelle Leaf est confrontée au défi de convaincre les acheteurs qu’elle offre une expérience supérieure, d’autant plus que le monde automobile a évolué de la modeste autonomie de 124 milles de la Leaf originale et de son infrastructure de recharge limitée à l’écosystème sophistiqué des véhicules électriques d’aujourd’hui.
Les enjeux sont élevés : le succès de la Mk3 Leaf déterminera si Nissan pourra reprendre son leadership sur le marché des véhicules électriques ou si elle restera dans l’ombre de concurrents qui ont déjà placé la barre haute.






























































